B. M. C. Pour Frédéric Laloux, toutes les entreprises libérées partagent trois traits communs : elles sont auto-organisées et se passent de chef, elles n’exigent pas des travailleurs qu’ils portent un masque dans l’entreprise (wholeness) et sont tout entières organisées en fonction de leur but propre (purpose driven).
Sep 09, 2015 · Ce 7 septembre 2015 est paru un article des Echos qui revient sur l'Université des Hommes et de l'Entreprise qui s'est tenue fin août à Bordeaux et qui avait pour thème Bonheur et Performance. Les organisations collaboratives ont le vent en poupe, c'est indéniable. Mais peut-on véritablement libérer une organisation en suivant les préceptes de l'holacratie ? Le monde de la restauration fait face à des enjeux en matière de recrutement et de management qui ne semblent pas près de se résoudre. Un turn-over parmi les plus importants tous secteurs d’activité confondus, une difficulté à recruter et à fidéliser qui ne cesse de progresser, un vrai retard sur les questions de qualité de vie au travail, le secteur semble avoir peu d’atouts Depuis le reportage “Bonheur au Travail” paru sur ARTE, l’“entreprise libérée” semble devenue un phénomène en vogue. Chronoflex, Poult, IMA Tech, FAVI, Harley Davidson, Lippi, Michelin, KIABI, WL Gore, Auchan, etc., toutes sont citées comme étant des “entreprises libérées”, terme parfois confondu à tort avec “Holacracy”, nouvelle technologie managériale mise en